Commentaires

1. Le vendredi 12 septembre 2008 par knight

@Elodie Pas lu encore, mais tous mes voeux. Bonne et grande journée à toi.

2. Le vendredi 12 septembre 2008 par Bérénice

La photographie en bleu : on dirait un tableau. Et puis, quel titre charmant ! Qui a dit qu'une fois le titre imaginé, un roman est presque terminé ? Et vendu.

3. Le vendredi 12 septembre 2008 par Florent G.

J'aime beaucoup moi aussi cette photo bleue, chère Bérénice. La comparaison avec un tableau me paraît singulièrement juste, d'autant que le photographe, Arthur Aillaud, est un peintre de talent. Quant au titre, c'est bien simple : je ne peux imaginer qu'il ne donne pas l'envie immédiate d'acheter le livre.

4. Le vendredi 12 septembre 2008 par Gaël

@Bérénice. Tout à fait d'accord avec vous. Pour moi, le titre compte autant sinon plus que la quatrième de couverture...Je fais souvent l'expérience d'acheter un livre uniquement pour son titre et ne lis la quatrième qu'une fois la lecture achevée.

5. Le vendredi 12 septembre 2008 par LaureLi

Je souscris totalement aux propos dithyrambiques de Florent concernant ce livre, lisez-le vite ! Et si vous le pouvez, venez au Comptoir !

6. Le vendredi 12 septembre 2008 par leo

@Florent G. Vous avez bien raison de vous battre pour faire connaître Festino ! au milieu de ce champ de bataille qu'est une rentrée littéraire, qui, cette année est particulièrement riche et variée et où de nombreux premiers romans sont en train de s'imposer. Il y a les rouleaux compresseurs comme Gallimard avec leurs deux "révélations" : Jean-Baptiste Del Amo et Tristan Garcia, il y a les "divines surprises" comme Jean-Marie Blas de Roblès publié par notre auteur Serge Safran dans sa très belle maison d'édition Zulma,(tiens, c'est bizarre, il n'est pas dans la liste des 50 meilleures ventes de Livres Hebdo, alors que dans mes chiffres il est 37e. Dur-dur d'être une petite maison), il y a aussi les premiers romans des "maisons d'avant-garde" comme Verticales avec Frederic Ciriez et tous ceux qui ont été "repérés" par La Revue Littéraire...
Les premiers romans représentent la moitié de notre propre rentrée littéraire, ce qui fait que, pour nous, la bagarre est particulièrement rude. Je pense que Marilou devrait bénéficier de l'attente liée au succès de la bio de Dominique Aury, mais pour Elodie, tout reste à faire, pour ce magnifique premier livre d'un auteur qui ne tardera pas, à mon humble avis, à être reconnu comme un grand écrivain, particulièrement singulier, ce qui donne tout son sel à cette bagarre. Ne nous laissons pas faire, cher Florent.

7. Le vendredi 12 septembre 2008 par Florent G.

Nous lutterons pied à pied, cher Léo, et il sera facile, sinon de vaincre, du moins de tenir, portés par cette certitude de la beauté de Festino ! Festino ! et de l'avenir d'Elodie, dont je ne parviens pas à douter, moi habituellement si douteur.

8. Le vendredi 12 septembre 2008 par Julia

Travaillant actuellement sur la biographie de Bessette par Julien Doussinault, j'ai en tête le militant "Lisez Hélène Bessette !" de Marguerite Duras, tandis que je lis vos commentaires. Je partage entièrement votre enthousiasme, et pour le titre et pour le roman lui-même, si bien que je ne peux que dire à mon tour : "Lisez Élodie Issartel !"

9. Le vendredi 12 septembre 2008 par leo

Non d'un Festino !... si même Julia se met au slogan publicitaire...

10. Le vendredi 12 septembre 2008 par Julia

Eh oui, tout arrive ! L'enthousiasme, quoi, le débordement ! Nom d'un Festino : je me rappelle la présence de ce personnage (et d'autres, mais de lui plus encore) comme si je partageais sa maison. Cette si incroyable maison où l'invraisemblable est naturel, la douce folie des liens l'habitante principale et la vie en somme un théâtre saugrenu. Comment ne pas s'y sentir chez soi?

11. Le vendredi 12 septembre 2008 par leo

@Julia. Oui, vous avez raison : Nom d'un Festino !!! c'est mieux...

12. Le vendredi 12 septembre 2008 par Florent G.

Je partage non seulement l'enthousiasme et le débordement de Julia, mais son sentiment : le plus frappant avec Festino ! Festino ! est sa façon de s'imprimer dans le souvenir, sa présence simple, évidente, longtemps après, comme d'une personne. On en sort familiers, vieux amis, de Festino et des autres ; pour moi, d'Henriette surtout, la cadette de la famille, si gracieuse dans son errance, à la fois si perdue et si forte, et dont la manière d'être me réjouit encore quand j'y pense, et j'y pense souvent.

13. Le dimanche 14 septembre 2008 par benoit

Allez, je monte dans le train des enthousiasmes et des débordements, avec ma petite valise. J'ai aimé dans ce livre que les personnages l'emportent sur l'auteur, la maison sur les personnages, et peut-être surtout quelque chose comme la vie, sur quelque chose comme l'esprit (avec son consentement bien entendu, et par pur respect des priorités).

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