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jeudi 29 juillet 2010
Par general,
jeudi 29 juillet 2010
Le 28 juillet, cette chronique cinéma, toujours très intéressante, d'Emile Breton dans les pages culture de L'HUMANITÉ.
Sur deux trains qui se croisent
Le Celluloïd et le Marbre, d'Éuric Rohmer': ce livre a une histoire qui s'inscrit dans sa composition même. Il y eut d'abord, de février à décembre 1955, les cinq articles publiés sous ce même titre dans les Cahiers du cinéma'; puis, en 1963, la préface que Rohmer écrivit pour la réédition (qui ne vit jamais le jour) de ces textes'; et enfin les cinq entretiens (suivant l'ordre des cinq articles) qu'il accorda en 2009, un an avant sa mort, à Noël Herpe et Philippe Fauvel.
Au total, la poursuite sur plus de cinquante ans de la réflexion sur sa pratique. Dans le premier des articles de 1955, parlant de la peinture, la littérature, la musique et l'architecture et du cinéma': «Un art, précisément, est aujourd'hui dans toute la force de ce classicisme, dans tout l'éclat de cette santé que les autres ont à jamais perdue.â?¯» Péremptoire, comme il le dira plus tard, mais si, à la fin de ses jours, il se demande si lui aussi ne connaîtra pas la décadence qu'il prédisait aux autres, c'est pour ajouter': «â?¯C'est trop facile de critiquer, de dire': 'Ce n'est plus comme au bon vieux temps'! 'Ce qu'il faut c'est pratiquer".â?¯»
Ainsi a-t-il fait, enchaînant les films, jusqu'à l'avant-dernière année de sa vie avec les Amours d'Astrée et de Céladon, verte jeunesse retrouvée d'un roman du XVIIe siècle. Le secret de cette fraîcheur gardée est sans doute dans ce qu'il dit, dès 1955, des films qu'il aime, alors qu'il n'en a pas encore réalisé': â?¨«â?¯Je n'invoquerai pas la notion vague et galvaudée de valeur, mais, concrète et à tort méprisée, de plaisir.â?¯» Plaisir à filmer, il suffit de le voir à son métier dans la Fabrique du conte d'été de François Etchagaray et Jean André Fieschi (2005). Et plaisir à vivre, à l'écoute des autres, qu'il parle en 1955 de la «â?¯beauté toute musicaleâ?¯» de l'Aurore de Murnau ou en 2009 de son bonheur à se réciter Baudelaire. «â?¯J'aime avoir cela en moiâ?¯», dit-il. Lire la suite
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mercredi 28 juillet 2010
Par general,
mercredi 28 juillet 2010
En mai 2009 dans la Collection M@nuscrits paraissait le premier roman de Chloé Saffy : Adore. Un an après, les articles continuent à être mis en ligne sur Net à propos de ce premier roman. C'est un peu ce que nous attendions de la démarche de M@nuscrits dont le but est de trouver un écho dans la blogosphère pour les premiers romans, en accueillant les nouveaux auteurs ayant un blog ou venus du Net, et en espérant qu'il susciteront l'intérêt des autres internaute. C'est la bonne surprise de cet article mis en ligne par Daniel Fattore sur son site : Fattorius.
Premier roman lu par Audrey, La Lettrine, Le Golb, Marie Lebrun.
Le blog de l'auteur: My Way Or The High Way.
"Ne dites pas que ce premier roman est adorable...
... il est mieux que ça! Premier roman de Chloé Saffy, "Adore" a paru aux éditions Leo Scheer en 2009, dans sa collection M@nuscrits, spécialisée dans la "rétropublication" d'ouvrages préalablement parus sur une partie dédiée du site Internet de l'éditeur. Ce premier roman est aussi l'une des premières rétropublications de la collection, qui vise à cerner les tendances des écritures émergeant d'Internet. C'est donc à double titre qu'"Adore" est intéressant... et plus que cela.
L'auteur propose ici une manière de huis clos où l'on voit un homme, Verlaine, fermement attaché à un fauteil d'osier, face à la femme qu'il a larguée par SMS, Anabel. Alors que Verlaine, bâillonné, ne peut s'exprimer, Anabel dit ses quatre vérités à son vis-à-vis. Méfiance face à la femme qu'on a quittée trop légèrement, voudrait-on dire!
Un univers tendu... Lire la suite
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mardi 27 juillet 2010
Par general,
mardi 27 juillet 2010

Le site de Boox Mag, donne des nouvelles de Saphia Azzeddine
"Saphia Azzeddine derrière la caméra
L'auteure française d'origine marocaine a débuté le 12 juillet dernier le tournage de Mon père est femme de ménage, l'adaptation visuelle de son livre du même nom.
Paul a 14 ans, il aime son père, mais a du mal à l'admirer. «Souvent, quand je le regarde, il est à quatre pattes, alors forcément ça manque un peu de hauteur tout ça...». Son père exerce le métier de femme de ménage. Dans sa cité de banlieue, Paul est un adolescent qui se cherche.
Au casting, on retrouvera le très prisé François Cluzet dans le rôle du père (Ne le dis à personne, Blanc comme neigeâ?¦), tandis que le jeune Paul sera interprété par Jérémie Duval. Le film devrait sortir en avril 2011.
Avant le cinéma, Saphia Azzeddine a flirté avec le thé?tre. Et c'est d'ailleurs ce qui l'a révélée au public en 2008. Son livre Confidences à Allah adapté sur les planches a été joué dans la France entière. La comédienne, Alice Bélaïdi, a notamment été récompensée par le prix de la révélation thé?trale féminine aux Molières 2010.
Saphia Azzeddine va également faire parler d'elle à la rentrée avec l'arrivée de son dernier roman : La Mecque / Phuket aux Éditions Léo Scheer.
Enfin, Si vous appréciez la jeune femme, vous pouvez la voir dés à présent sur les écrans dans le film L'Italien d'Olivier Baroux. Elle y interprète le rôle de la s?ur de Kad Merad, un jeune marocain qui se fait passer pour un italienâ?¦"
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dimanche 25 juillet 2010
Par general,
dimanche 25 juillet 2010
Article de Laurent Binet ' auteur de HHhH qui est paru cette année chez Grasset ' à propos du premier livre de Julien d'Abrigeon, Pas Billy the Kid (Al Dante) ' également auteur du Zaroff (Laureli/Léo Scheer, 2009) ' paru dans le journal Libération des 24 et 25 juillet 2010, dans la rubrique "Rebonds". Lire la suite
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jeudi 22 juillet 2010
Par general,
jeudi 22 juillet 2010
LE COIN DU POLAR (Le Point du 22.07.2010.)
"En matière de business occulte à portée internationale, le journaliste économique Yves Mamou n'est pas un enfant de choeur. Cela fait vingt ans qu'il traque les trafics et les errances de notre société pour Le Monde et, comme il épingle l'industrie pharmaceutique dans son deuxième roman, on tend l'oreille en se disant qu'il y a forcément du vrai derrière la fiction.
L'enquête, c'est le commissaire antiterroriste Martucci qui la mène. On l'avait rencontré dans son premier livre, Camelia.came, sélectionné en 2008 pour le Prix du Polar.
Tombeur à l'ancienne, Martucci est pourtant bien dans le présent lorsqu'une bombe explose près de son taxi. Était-il la cible de cet attentat-suicide? Pas si l'on en juge par les cinq millions de dollars en petites coupures que le souffle de l'explosion répand sur les victimes.
Le fil de cet argent va le conduire à Beyrouth. Enjeux politiques, fanatisme religieux,médicaments...Mamou nous livre la posologie subtile d'un cocktail mortel."
Julie Malaure. Le 22.07.2010.
Pour mémoire : Philippe Trétiack dans ELLE.
Des Labos et des bombes. LA TRIBUNE.
Les auteurs du Monde. LE MONDE Lire la suite
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vendredi 16 juillet 2010
Par general,
vendredi 16 juillet 2010
Entretien de Sylvain Prudhomme avec Jérôme Goude pour Le Matricule des Anges, à propos de son roman ''Tanganyika Project''.
Lire l'article en pdf
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jeudi 15 juillet 2010
Par general,
jeudi 15 juillet 2010
Sur le site Le Mediateaser, cette présentation de notre dernier Thriller pour l'été : Les 7 sages de Stéphane Rodriguez :
LES 7 SAGES.
"L'Égypte au temps des pharaons. Afin d'asseoir son pouvoir, Khéops décide de faire ériger une pyramide qu'il veut parfaite, mais ses architectes ont perdu le savoir-faire ancestral qui avait permis la réalisation du monumental sphinx de Gizeh. Pour retrouver ce secret, le pharaon fait appel au vieux savant Nisteni et au jeune Tiki, issu de la lignée d'un clan millénaire, gardien de la mémoire des Hommes Premiers. Conduite par le maître et l'élève, une expédition part vers l'Orient, mais les ennemis de Khéops sont partout, y compris au sein de sa propre famille.
Voici l'histoire du roman Les 7 sages de Stéphane Rodriguez, paru le 7 juillet. Un premier roman qui nous emporte dans l'Egypte fascinante et mystérieuse. C'est une véritable épopée à un rythme haletant que vont vivre Nisteni et Tiki et que le lecteur prendra plaisir à lire jusqu'au bout."
@Mathieu, le 15 juillet 2010.
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mardi 13 juillet 2010
Par general,
mardi 13 juillet 2010
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lundi 12 juillet 2010
Par general,
lundi 12 juillet 2010
Sur le site de Critiques Libres, on peut lire cette note de lecture écrite par Becdanlo sur le dernier livre publié dans la Collection M@nuscrits Les Récits d'Ostwand d'Éuric Meije. (1)
"Des fragments de mémoires venus d'ailleurs.
Quel étrange univers que celui d'Eric Meije. Sa confédération d'Ostwand ressemble à s'y méprendre au théâtre des opérations de la seconde guerre mondiale. Alors pourquoi ne situe-t-il pas son récit dans la réalité ? Parce qu'il n'avait probablement pas l'âge d'avoir pu vivre vraiment cette époque... et qu'il aura donc voulu situer son histoire dans un pays imaginaire évitant ainsi la confrontation avec des faits historiques ? Ou pour laisser une plus grande part à l'imaginaire ? Peut être aussi parce que l'auteur a subi une « imprégnation » suite à cette guerre par son milieu familial ou son environnement ? Enfin, on pourrait évoquer certaines cultures orientales qui incitent à croire à la réincarnation. Dans ce dernier cas, notre auteur revivrait des réminiscences d'une vie antérieure ? Voire d'une mémoire collective ? Lire la suite
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samedi 3 juillet 2010
Par general,
samedi 3 juillet 2010
Sur Tanganyika project, le livre de Sylvain Prudhomme, Alfrd Eibel a écrit cet article pour Valeurs Actuelles :
"Est-elle réelle, est-elle fantôme cette Afrique où le songe naît d'une fièvre sudorale ; où les routes bordées de panneaux publicitaires, incitations à être de son temps, ouvrent les portes sur d'autres mondes comme le suggérait Vialatte ? Le long des chemins interminables sont installés comptoirs et dépotoirs, échoppes proposant au chaland de passage les surplus d'un Occident pris d'indigestion. Des bus peinturlurés circulent ressemblant à des dripping inspirés de Jackson Pollock. Puis on découvre le lac Tanganyika, hippopotames, crocodiles, bêtes et victimes de ces bêtes. On éprouve plus qu'ailleurs le sentiment du provisoire, comme si rien dans la vie n'avait la chance de durer. L'auteur note dans un carnet ce qu'il lit, abréviations affichées sur les autocollants ou portées sur les tee-shirts, slogans, affirmations péremptoires, vantardises. Ce livre nous en apprend plus sur l'Afrique que bien des livres de voyage malins. Sylvain Prudhomme observe, éprouve, mesure, à propos d'un continent a priori insaisissable. En Afrique, rien n'est impossible."
Alfred Eibel. Le 1er juillet 2010
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