Le jeune artiste citadin y dévoile son appréhension de la nature. Pour plus de justesse, disons qu’il utilise les éléments de cette nature comme toile de fond sur laquelle il projette ses sentiments, son obsession romantique. Les errances en forêt ou à travers champs de Bergerat relèvent de la quête. À l’éternelle recherche du fantôme (l’être aimé ?) coïncide celle du paysage, celui-là même qui permettra à son cliché de n’être plus un document de réalité mais une œuvre imaginaire.
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