Des poèmes en prose qui accrochent la pensée au langage pour sortir du bruit ambiant que le poète, depuis toujours, refuse d’entendre. La poésie comme machine à vivre la tragédie de l’homme, ouvre sur l’impossible conjuration de la folie que les temps actuels s’échinent en vain à cataloguer pour leurrer les corps et lisser les cerveaux... |