Il y a comme une démolition des phrases en même temps qu’une démolition de la vie. On pourrait presque dire que l’écriture pleure : tout en se réappropriant les accents de l’enfance, elle se fait heurt, trébuchement. Une sorte de pas à pas cherchant son équilibre. Mes larmes est un texte écrit à voix haute. Il peut se lire de la même manière. Ainsi s’écoute le chaos.
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