Ce livre est celui d’un écrivain aux yeux duquel l’existence et la littérature forment une même expérience vitale. Ni concessions ni complaisance, des faits, des souvenirs : l’aventure d’une vie que l’urgence de la liberté a mené des errances de l’adolescence à la solitude du bandit traqué.
Les Mains en l’air s’achève par le surprenant manuscrit trouvé à Fresnes, véritable "code des usages du métier" qui circulait à cette époque dans les prisons, intitulé Braquage, mode d’emploi.