"Faut-il encore de la vitalité en soi pour cela, assez d’aspiration, autrement dit du vivant, reste donc à ne pas renoncer, mais la seule parole ne suffit pas, là où tout s’avance, poursuivre, de préférence avec une vitalité froide (le sentiment minéral et glacé qu’il avait de son propre corps, à la fois minéral et végétal, laine, caillou, sa délimitation), ce qu’il disait lui, la froideur, l’état de froideur, la froideur de tête, mais qui peut bouger encore ? de quel côté ? il faudra se maintenir et se récupérer, tout d’abord, ce qu’il avait dit, trouver un corps sans limites, avant d’aller au monde". |