J’appelle "théâtre de la fin" celui où le trou de mémoire apparaît comme point de fuite et d’oubli dans l’architecture du langage, et aussi comme source où puisent les corps, au bout de leur course et avant leur silence final, pour s’abandonner à une dernière incontinence de la parole, de la pensée. Ne se souvenir qu’en s’oubliant, comme on dit...