Très-Grande Surface est un livre effrayant. Il y paraît vite normal que la peau humaine se cultive, que les voitures aient une sexualité, que les poupées souffrent et que toutes ces choses puissent être conscientes de leur situation. Dans le monde de la Très-Grande Surface, l’ultraviolence a un goût de sucre et la dénaturation est donnée à vivre comme une fête permanente.
Très-Grande-Surface fonctionne comme une machine à visions. C’est un voyage dans la vie intime des marchandises.