Par un effet de traduction généralisée qui pousse et développe les écritures au-delà de leurs formes et de leurs traditions nationales, tout en préservant au mieux leur distance et leur étrangeté, des poèmes issus de langues d’ailleurs ou de langues de France autres, aussi éloignées que le nahuatl et le russe, le zapotèque, l’allemand, le maya, le roumain, le tojolab’al, l’irlandais, le mapuche, l’espagnol, le japonais et l’anglais, le catalan, le gitan, le corse, le breton, l’occitan, l’alsacien sont ici donnés à lire dans leur actualité et leur diversité. |